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Signes naturels de perturbations géobiologiques : arbres, haies et animaux

Dernière mise à jour : 22 août


L'observation de la nature révèle la nature du sous-sol
Arbres déformés par une veine d'eau-Libramont (Belgique)

La géobiologie explore l'influence de l'environnement terrestre sur les êtres vivants. Elle étudie comment les perturbations géobiologiques peuvent affecter notre santé et notre bien-être, ainsi que celui de la nature. Cet article examine quatre indicateurs clés de ces perturbations : les arbres déformés, les haies affaiblies, les arbres remarquables, et les ronds de sorcières.

  1. Arbres déformés et veines d'eau souterraines

Les arbres qui poussent au-dessus de veines d'eau souterraines peuvent montrer des déformations visibles. Ces veines créent des champs électromagnétiques qui influencent la croissance des arbres. Vous pouvez observer des troncs torsadés, des branches poussant de manière inhabituelle, ou des troncs inclinés. Ces signes sont souvent des indices visuels de la présence d'eau souterraine.

  1. Haies affaiblies sur le grand réseau diagonal et les veines d'eau

Les haies peuvent également révéler des perturbations géobiologiques. Sur le grand réseau diagonal, un réseau énergétique théorique, les haies peuvent être plus frêles ou moins denses. Ce phénomène se retrouve aussi au-dessus des veines d'eau, où la vitalité des plantes est diminuée par les champs électromagnétiques.

  1. Arbres remarquables sur le réseau solaire

Les arbres remarquables, souvent anciens et majestueux, se trouvent parfois à des points précis du réseau solaire, un autre réseau énergétique en géobiologie. La présence de ces arbres à un croisement de ce réseau peut indiquer un point de forte énergie géobiologique. Ces arbres attirent souvent la faune et peuvent servir de repères pour identifier ces croisements énergétiques.

  1. Ronds de sorcières sur les cheminées cosmotelluriques

Les ronds de sorcières, ces formations circulaires de champignons, signalent des perturbations géobiologiques. Ils apparaissent souvent au-dessus des cheminées cosmotelluriques, où l'énergie terrestre est particulièrement intense. Ces cercles, de tailles variées, indiquent une activité microbienne influencée par les flux énergétiques souterrains.

  1. Les arbres fruitiers et les zones géopathogènes

Selon Kate Bachler, certains arbres fruitiers, comme les cerisiers, pêchers et pruniers, prospèrent dans les zones géopathogènes. En revanche, les arbres fruitiers à pépins, tels que les pommiers et poiriers, préfèrent des zones neutres. Les noyers, sureaux et le gui recherchent également ces zones particulières.

  1. Autres arbres et végétaux sensibles aux zones géopathogènes

Le hêtre, le tilleul, ainsi que des plantes comme les bégonias, groseillers, lilas et tournesols, évitent les zones géopathogènes. Le hêtre et le tilleul sont connus pour leur capacité à se protéger contre la foudre, qui frappe souvent à un croisement de veines d'eau souterraines. Par contre, des arbres comme le chêne et le sapin, ainsi que des plantes comme l'asperge et l'aralia, préfèrent les zones à rayonnement terrestre négatif.

  1. Animaux et zones géopathogènes

Les chiens, vaches, cochons, chevaux et poules fuient les zones géopathogènes. En revanche, les chats, fourmis, abeilles, insectes en général, bactéries et virus y sont attirés.

Conclusion

Identifier les perturbations géobiologiques demande une observation attentive et une bonne compréhension des signes naturels. En observant les arbres, haies et formations fongiques, nous pouvons mieux comprendre comment les énergies terrestres invisibles affectent la vie. Ces observations nous aident à aménager nos espaces de vie en harmonie avec les énergies naturelles.

Pour approfondir vos connaissances en géobiologie, consultez des ouvrages spécialisés et des sites web dédiés.

Bibliographie

  • De Luzan, A. (2022). Votre santé en lieu sûr grâce à la géobiologie. Paris: Le Courrier du Livre.

  • Endröss, R. (1990). Le rayonnement de la terre et son influence sur la vie. Nice: Éditions Ambre.

  • La Maya, J. (2005). La médecine de l'habitat. Paris: Editions Danglès.

  • De Lafforest, R. (1972). Ces maisons qui tuent. Paris: Editions Robert Laffont.

  • Bachler, K. (1989), Earth Radiations. Manchester : Wordmaster Ltd.




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